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* Je viens d’appendre la nouvelle et mon coeur se serre: Mauris est parti. Mauris es partit per lou Païs dei Diéu. Il est parti rejoindre, là ou le ciel touche la terre, le Dieu Taureau et la Déesse Mère, tout là bas vers le Mont Bego. Mon coeur se serre parce que c’est à travers ses chansons que j’ai repris conscience, il y a quelques années, lorsque j’étais jeune aussi, de ma culture et de ma langue que l’on m’avait confisqué trop longtemps. Même si je n’étais pas toujours d’accord avec lui, nous avions un ennemi commun et, par celà, nous étions dans les mêmes combats: celui de notre enracinement farouche à une langue et une culture attachée à cette terre, à notre plus longue mémoire. De cen qu’as dich, de cen qu’as fach, n’as pas vergougna, Amic ! (21/7/2011)
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